Ce lundi 18 novembre, un pont s’est  effondré à Mirepoix-sur-Tarn au nord de Toulouse (sud de la France). Un  camion et une voiture sont tombés dans le Tarn, causant la mort d’une adolescente de 15 ans, du chauffeur du camion, trois blessés et plusieurs disparus. «On ignore encore les causes précises de l’accident» qui a donc fait deux morts et au moins un disparu, avait indiqué le jour du drame le ministère de la Transition écologique et solidaire, dans un communiqué. Et d’avouer, «On ignore encore les causes précises de l’accident ».  

Une enquête pour situer les responsabilités a donc été ouverte pour situer les responsabilités du drame.

En Côte d’Ivoire, lorsqu’une route se dégrade sous l’impact de fortes pluies, sous la gouvernance Ouattara, l’on parle de « goudron biodégradable ». Les opposants au régime d’Abidjan en ont fait une critique de gouvernance. Certains vont jusqu’à soutenir que les ponts et les routes se construisent  avec négligence sans réelle expertise.

L’ancien président ivoirien, Henri Konan Bédié avait qualifié les routes et ponts construits depuis 2011 de routes et ponts « biodégradables ». Cette complainte ironique non fondée avait poussé le porte-parole adjoint du parti au pouvoir, Kobenan Kouassi Adjoumani à le recadrer. « Le bitume qui a changé le visage de Daoukro grâce au Président Alassane Ouattara, est-il aussi biodégradable ? » avait-il interrogé sans obtenir jusque-là de réponse.

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Cet incident malheureux qui s’est produit en France prouve qu’un pont malgré la matière utilisée pour sa construction, peut toujours s’effondrer. Soit sous l’impact d’éléments naturels ou de facteurs humains.

Il est évoqué dans le cas présent une surcharge du camion qui aurait donc fait céder le pont. Toutefois, les enquêtes situeront au mieux les français.

Arnaud Houssou

7info.ci