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Economie-bilan Cepici : Essis Emmanuel, « Encore des efforts à faire, l’émergence n’est plus un slogan politique »

Mis à jour le 26 novembre 2018
Publié le 20/01/2017 à 4:45

Le centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici) a donné une conférence ce 20 janvier afin de faire le bilan de ses activités de  l’année 2016. Sur les10 indicateurs de notation du doing business,  la Côte d’Ivoire a évolué sur 7 indicateurs. Elle n’a connu aucun changement sur le point de l’obtention des prêts, par contre a régressé sur 3 points dont la création d’entreprise, le transfert de propriété et le commerce transfrontalier.

« Plus nous aurons du monde qui adhèadhère nouvelles reformes, plus nous aurons de meilleures notes » a déclaré Essis Esmel, Directeur Général du centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (cepici). Par rapport à 2015 le classement de la Côte d’Ivoire est resté statique en 2016 :142e  sur 190 pays. « Des efforts ont été faits mais ne sont pas suffisants par rapport aux autres pays pour qu’on puisse gravir en classement. Certains pays ont fait plus.  La concurrence est rude. C’est un concours »a déclaré  Essis  Esmel Emmanuel lors de cette conférence bilan à propos du rang qu’occupe la Côte d’Ivoire dans le  classement de facilitation des affaires(doing business) de la Banque Mondial.CEconomie-bilan Cepici :

Essis Emmanuel : le Doing business est unconcours  Le centrede promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici) a donné une conférencece 20 janvier afin de faire le bilan de ses activités de  l’année 2016 qui vient de s’écouler. Sur les10 indicateurs de notation du doing business,  la Côte d’Ivoire a évolué sur 6 indicateurs. Ellen’a connu aucun changement sur le point de l’obtention des prêts, par contre a régressésur 3 points dont la création d’entreprise, le transfert de propriété et lecommerce transfrontalier. « Plus nousauront  du monde qui adhèrent auxnouvelle reformes plus nous auront de meilleures notes » a déclaréEssis Esmel, Directeur Général du centre de promotion des investissements en Côted’Ivoire (cepici) Par rapportà 2015 le classement de la Côte d’Ivoire est resté statique en 2016 :142 sur 190 pays. « Des efforts ont été faits mais nesont pas suffisant par rapport aux autres pays pour qu’on puisse gravir enclassement. Certains pays ont fait plus.  

La concurrence est rude. C’est un concours »a déclaré  Essis  Esmel Emmanuel Directeur Général du centre de promotiondes investissements en Côte d’Ivoire (cepici)  lors de cette conférencebilan à propos du rang qu’occupe la Côte d’Ivoire dans le  classement de facilité de faire des affaires(doing business) de la banque mondiale.C’est environ 62 reformes qui  ont été faites par le gouvernement ivoirien depuis 2013.Cependant le DG du cepici  soutient qu’il faut aller dans les reformes structurelles, des reformes qui changent les habitudes et les manières de travailler. Cependant il soutient que la Côte  d’Ivoire est devenue une économie plus attractive en précisant que c’est 35 places qui ont été gagnées depuis le début du processus en 2013 pour 672  milliards FCFA investis dans le pays en 2016. 53,8% proviennent de l’Afrique, 30%, de l’Europe, et 14 %de l’Asie. Concernant des investissements agréés  en Côte d’Ivoire, la France  arrivent en premier avec 12%.  

L’investissement direct nationale est  évalué a  27%. En 2016 c’est 12.166 entreprises créées reparties essentiellement dans le commerce (30%),les prestations de service (46%) et les BTP (13%). et de préciser que 95% des entreprises agréées depuis 2012 sont en activité. Quant à la crise que traverse présentement la Côte d’Ivoire qui pourrait agir sur l’environnement des affaires, Diaby Siaka le directeur du plan et du développement a estimé que  « Les évènements n’ont pas excédé plus d’un mois.  Nous avions dit à ses investisseurs que lorsque les problèmes surviendront ils auront un gouvernement responsable  donc ce qui se passe aujourd’hui  était prévu » tout en précisanprévu cela  complique la tâche du ceEconomie-bilan Cepici : Essis Emmanuel : le Doing business est unconcours  Le centrede promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici) a donné une conférencece 20 janvier afin de faire le bilan de ses activités de  l’année 2016 qui vient de s’écouler. Sur les10 indicateurs de notation du doing business,  la Côte d’Ivoire a évolué sur 6 indicateurs. Ellen’a connu aucun changement sur le point de l’obtention des prêts, par contre a régressésur 3 points dont la création d’entreprise, le transfert de propriété et lecommerce transfrontalier. « Plus nousauront  du monde qui adhèrent auxnouvelle reformes plus nous auront de meilleures notes » a déclaréEssis Esmel, Directeur Général du centre de promotion des investissements en Côted’Ivoire (cepici) Par rapportà 2015 le classement de la Côte d’Ivoire est resté statique en 2016 :142 sur 190 pays. « Des efforts ont été faits mais nesont pas suffisant par rapport aux autres pays pour qu’on puisse gravir enclassement. Certains pays ont fait plus.  La concurrence est rude. C’est un concours »a déclaré  Essis  Esmel Emmanuel Directeur Général du centre de promotiondes investissements en Côte d’Ivoire (cepici)  lors de cette conférencebilan à propos du rang qu’occupe la Côte d’Ivoire dans le  classement de facilité de faire des affaires(doing business) de la banque mondial.C’estenviron 62 reformes qui  ont été faitespar le gouvernement ivoirien depuis 2013.Cependant le DG du cepici  expliquequ’il faut aller dans les reformes structurelles, des reformes qui changent lesattitudes et les manières de travailler. Cependantil soutient que la Côte  d’Ivoire est devenueune économie plus attractive en précisant que c’est 35 places qui ont été gagnédepuis le début du processus en 2013cesont 672  milliards qui ont été investi dansle pays en 2016. 53,8% proviennent de l’Afrique, 30%, de l’Europe, et 14 %de l’Asie. Concernant des investissements agrées  en Côte d’Ivoire, la France  arrivent en premier avec 12%.

 L’investissement direct nationale est  évalué a  27%. En 2016c’est 12.166 entreprises créés reparti essentiellement dans le commerce (30%),les prestations de service (46%) et les BTP (13%). et de préciser que 95% desentreprise agréées depuis 2012 sont en vie. Quandà la crise que traverse présentement la Côte d’Ivoire qui pourrait agir sur l’environnementdes affaires, Diaby Siaka le directeur du plan et du développement a déclaréque   « Lesévènements n’ont pas excédé plus d’un mois.  Nous avions dit à ses investisseurs quelorsque les problèmes surviendront ils auront un gouvernement responsable  donc ce qui se passe aujourd’hui  était prévue » tout en précisant quecela  complique la tâche du cepici maisne sera  pas un phénomène  qui puisse faire vaciller les perspectives.Ces perspectives sont entre autre l’amélioration de l’environnementdes affaires, l’ attraction des investissements directs nationaux. Raïssa Yaopici maisne sera  pas un phénomène  qui puisse faire vaciller les perspectives.Ces perspectives sont entre autre l’amélioration de l’environnementdes affaires, l’ attraction des investissements directs nationaux. ’estenviron 62 reformes qui  ont été faitespar le gouvernement ivoirien depuis 2013.

Cependant le DG du cepici  expliquequ’il faut aller dans les reformes structurelles, des reformes qui changent lesattitudes et les manières de travailler. Cependantil soutient que la Côte  d’Ivoire est devenueune économie plus attractive en précisant que c’est 35 places qui ont été gagnédepuis le début du processus en 2013cesont 672  milliards qui ont été investi dansle pays en 2016. 53,8% proviennent de l’Afrique, 30%, de l’Europe, et 14 %de l’Asie. Concernant des investissements agrées  en Côte d’Ivoire, la France  arrivent en premier avec 12%.  L’investissement direct nationale est  évalué a  27%. En 2016c’est 12.166 entreprises créés reparti essentiellement dans le commerce (30%),les prestations de service (46%) et les BTP (13%). et de préciser que 95% desentreprise agréées depuis 2012 sont en vie. Quandà la crise que traverse présentement la Côte d’Ivoire qui pourrait agir sur l’environnementdes affaires, Diaby Siaka le directeur du plan et du développement a déclaré que   « Les évènements n’ont pas excédé plus d’un mois.  Nous avions dit à ses investisseurs que lorsque les problèmes surviendront ils auront un gouvernement responsable  donc ce qui se passe aujourd’hui  était prévu » tout en précisant quecela  complique la tâche du Cepici mais ne sera  pas un phénomène  qui puisse faire vaciller les perspectives.Ces perspectives sont entre autres l’amélioration de l’environnement des affaires, l’ attraction des investissements directs nationaux.
 Raïssa Yao

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