Avocate chevronnée et militante engagée, Maître Francine Aka-Anghui consacre sa carrière à la défense des droits des femmes en Côte d’Ivoire. À la tête de l’Association des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire et du Women Caucus for Lobbying, elle œuvre pour une justice plus équitable et une meilleure représentation des femmes dans les instances décisionnelles.
Maître Francine Aka-Anghui est une figure emblématique du droit et de la défense des droits des femmes en Côte d’Ivoire. Inscrite au Barreau de Côte d’Ivoire depuis 1993, elle a consacré sa carrière à la promotion de la justice et à l’autonomisation des femmes.
Titulaire d’une maîtrise en droit obtenue à l’Université d’Orléans, en France, elle a choisi de revenir en Côte d’Ivoire pour exercer en tant qu’avocate. Elle a notamment travaillé au sein du cabinet SCPA Sakho-Yapobi-Fofana et Associés à partir d’août 1998. De 2014 à 2020, elle a été membre du Conseil de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, où elle a également servi de point focal pour le suivi de la Convention des Nations Unies contre la corruption.
En tant que présidente de l’Association des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), Maître Aka-Anghui s’est engagée à sensibiliser les femmes sur leurs droits et à leur fournir une assistance juridique. Dans son combat, elle souligne l’importance de l’information juridique pour l’autonomisation des femmes.
Son engagement s’étend également au Women Caucus for Lobbying Côte d’Ivoire, où elle occupe le poste de secrétaire générale. Cette organisation vise à renforcer la participation des femmes dans les instances décisionnelles et à promouvoir l’égalité des genres à travers le plaidoyer et le lobbying.
Maître Aka-Anghui est régulièrement sollicitée pour partager son expertise sur des plateformes médiatiques, abordant des sujets tels que les droits des femmes, le mariage et les questions juridiques en Côte d’Ivoire. Son parcours et son dévouement font d’elle une figure inspirante de la lutte pour les droits des femmes en Côte d’Ivoire, encourageant de nombreuses femmes à s’informer et à revendiquer leurs droits.
Maria Kessé
